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5 janvier 2007

Qu’est – ce que le diabète?

Qu’est – ce que le diabète?

Une grande quantité d’aliments que nous mangeons est transformée en glucose (une sorte de sucre). Ce glucose se retrouve alors dans le sang qui le transporte aux cellules. Le glucose est utilisée pour nous donner de l’énergie, si vous êtes diabétique, votre corps ne produit pas de l’insuline ou il ne peut pas utiliser l’insuline qu’il produit de bonne façon le glucose reste dans votre sang et vos cellules ne reçoivent pas l’énergie dont elle on besoin. Le diabète est une maladie constituée par la présence du sucre dans l’urine, accompagnée d’une sécrétion abondante de ce liquide, d’un croissement très marqué de la soif de l’appétit avec, comme résultat définitif de l’amaigrissement.ces troubles différencient le diabète de la glycosurie état dans lequel le sucre que ces modifications de la santé soient observées. CAUSE : Le diabète est dû à un dérèglement du mécanisme glucorégulateur. On admet habituellement que la cause de ce dérèglement réside dans une insuffisance de la sécrétion interne du pancréas, c'est-à-dire dans hypo production d’insuline .Mais ce facteur pancréatique n’est peut être pas unique, et dans certains cas on à évoqué un trouble portant sur d’autres éléments du système glucorégulateur : hypophyse, thyroïde, foie. Le diabète sucré = Le diabète sucré était jadis défini comme un trouble de l’utilisateur des sucres au cours de la nutrition : il se traduisait dans les conditions habituelles de vie et d’alimentation par une hypoglycémie avec glycosurie. Dans sa réunion de 1979, l’OMS à proposé la définition suivante ; le diabète sucré (diabètes Mellitus ou DM), est un état d’hypoglycémie chronique qui peut résulter de nombreux facteurs, les uns d’environnement, les autres génétiques agissait souvent ensemble le principale régulateur de la glycémie est l’insuline. Le diabète de type I : Le diabète de type I est numériquement la forme clinique la plus rare mais c’est aussi la forme la plus grave. Elle survient surtout chez des sujets jeunes avant trente ans. La quasi-totalité des diabètes de l’enfant en relèvent, le début est habituellement brutal. Soit que les premiers symptômes avaient été méconnue, soit que brusquement interviennent le déséquilibre hormonal qui crée la maladie. Parfois, le diabète de type I est révélé par un coma diabétique inaugural. Le diabète de type II : C’est la forme la plus fréquente (environ 90 p 100 des cas). Elle apparait en général chez des adultes au voisinage de la cinquantaine. Le début est très progressif. La maladie est révélée parfois par un incident intercurrent : infection qui guérit mal dermatose, etc.…. fréquemment, l’un des symptômes cardinaux, et en particulier la polydipsie, est le signe clinique qui attire l’attention .mais de plus en plus souvent, cette forme est révélée par la découverte d’une glycosurie faite au cours d’un examen systématique.
Les signes cliniques:
Le sujet atteint de ce diabète est dans l’immense majorité des cas un pléthorique, d’où le nom diabète qras . Dans la forme clinique la plus typique, quatre signes cardinaux peuvent être observées.
- La polydipsie =.c’est à dire l’existence d’une soif intense.
- La polyphagie= c'est-à-dire un besoin exagéré d’alimentation.
- La polyurie= c'est-à-dire l’émission d’une quantité anormalement abondante d’urine, quantité qui peut atteindre plusieurs litres par jours. la glycosurie qui est l’apparition de sucre les urines. Souvent le malade ne présente aucun signe assez caractéristique pour appeler l’attention et les symptômes révélateurs sont tout autres. C’est fréquemment un spécialiste qui dépiste le premier la présence du sucre dans les urines. tel par exemple = un dentiste consulte soit pour une inflammation chronique des gencives, qui sont ramollies et saignent facilement soit pour la sécheresse de la bouche, la chute des dents ; tel l’oculiste consulté pour un affaiblissement de la vue, une presbytie prématurée ou une cataracte précoce ; ce peut être le dermatologiste, en raison des démangeaisons persistantes sans éruption ou au contraire, de l’eczéma du furoncles, des anthrax à répétition ou bala ride tenace . La peau qui excrète du sucre, est souvent, en effet sèche farineuse et peut être le siège de poussée eczémateuse ou érythémateuse, le méat et le prépuce. sur lesquels s’écoule l’urine sucrée sont rouges et sont le siége de démangeaisons pénibles, d’éruptions diverses .cette lésion est encore plus accentuée chez la femme , sur le vulve , par suite du séjour prolongé de l’urine , et à pour conséquence du prurit , de la rougeur et des lacérations résultent du grattage .on observe aussi des troubles nerveuses : perte de la force sans cause apparente , lassitude générale, crampes, douleurs névralgiques, diminution de la mémoire, tendance au sommeil, inaptitude au travail. Dans certains cas, le malade sans le savoir, s’inquiète de chutes fréquentes dont il ne s’explique par la cause. L’état général est parfois altéré : les digestions peuvent être difficiles et le malade maigrit rapidement. L’homme est souvent impuissante ; la femme cesse d’avoir ses règles et reste stériles. Tous ses signes doivent mettre sur la voie du diagnostic et inciter à faire examiner les urines et le sang. Etiologie= Hérédité diététique : L’hérédité joue indiscutablement dans le diabète et l’on s’est même efforcé de chiffrer les risques en fonction du nombre d’antécédents héréditaires et de leur proximité. On à également longtemps admis que l’hérédité puisse être croisée et que descendant d’un diabétique de type I pouvait présenter diabète de type II et réciproquement. Les études plus récentes ont fait apparaître une indiscutablement hétérogénéité en la matière. On a souvent tendance à continuer d’appeler diabète potentiel le cas des sujets ayant une double hérédité. Ce sont des sujets normaux chez qui les épreuves, même le plus fine, ne révèlent aucune anomalie, mais chez qui la statistique a montré que l’incidence du diabète était plus importante. L’OMS.les désigne sans le nom d’anomalie potentielle de la tolérance au glucose. Ces sujets doivent être l’objet d’une surveillance accrue. La prévention de la pléthore étant ici essentielle. Malgré le risque héréditaire, le diabète n’est cependant pas un obstacle à la procréation quoiqu’il nécessite une surveillance médicale très attentive des femmes enceintes.
Les formes étiologiques=
Diabète nerveux :
On a vu des glycosuries passagères à l’occasion d’émotions après un traumatisme du crâne, au cours d’une hémorragie méningée ou cérébrale.
Diabète traumatique=
Le diabète peut être consécutif à un traumatisme, en particulier en choc sur la tète, mais une prédisposition semble nécessaire. Diabète glandulaire = Le diabète glandulaire un diabète hépatique. Chez les gros mangeurs et buveurs habituels. On peut observer un diabète bénin. Cependant il est des diabètes graves liés à une cirrhose hépato-pancréatique. Diabète pancréatique= Le pancréas qui sécrète l’insuline, intervient dans tout diabète sucré on réserve le nom de diabète pancréatique aux cas ou sont associés des troubles de dyspepsie pancréatique et un diabète sucré. Diabète hypophysaire = L’association du diabète avec l’acromégalie et le gigantisme est fréquente. L’évolution de ce diabète est tantôt bénigne tantôt grave.
Diabète thyroïdien= Dans le goitre exophtalmique, le myxœdème, on peut noter une glycosurie passagère et légère, ou bien un véritable diabète. Le traitement iodé ou le traitement chirurgical peut influencer favorablement la glucoserie.
Diabète surrénal= L’injection d’extrait aqueux de capsule surrénale ou d’adrénaline provoque la glucoserie chez le chien, mais la démonstration d’un diabète d’origine surrénale n’est pas faite chez l’homme. Certains hypertendus montrent une hyperglycémie exagérée à la suite d’ingestion de glucose, il semble exister un antagonisme entre le pancréas et la corticosurrénal.