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17 avril 2006

la dépression, diagnostic, traitement 2

De l’autre coté, la dépression soit une émotion soit un diagnostic. Dans le premier cas, le sujet est abattu, sombre, lorsqu’il s’agit de diagnostic, cela connote un syndrome dont le facteur psychoaffectif (émotion), la dépression constitue un des éléments. La psychiatrie actuel utilise le diagnostic<> pour d écrire ce qu’on avait l’habitude d’appeler la mélancolie, condition dans laquelle le patient souffre d’idées noires, de ralentissement des pensées et de l’action, ainsi que l’auto reproches délirants. C’est un des troubles affectifs, est ainsi appelé en raison de la perturbation de l’humeur, l’autre de la manie. On dit des personnes chez lesquelles alternent la dépression et la manie qu’elles ont une psychose maniaco-dépressive. La psychiatrie fait la distinction entre la dépression endogène et la dépression exogène, la première étant présumée être le résultat de quelque trouble constitutionnel (non spécifié) la seconde étant une réaction compréhensible mais pour le moins excessive à quelque événement pénible. La dépression évolutionnelle est un état dépressif qui se produit au cours de la seconde moitié de la vie. L’emploi de cette expression implique que l’on croit à une origine constitutionnelle. La littérature psychanalytique est unanime à considérer la dépression mélancolique comme une farte pathologie de deuil, l’objet perdu étant un objet interne et non pas actuellement une personne. Cet objet interne était investi de façon ambivalente, de sorte que l’individu déprimé se sentait dépendant d’un objet envers la quel il n’était pas moins hostile. Dans la dépression, il s’imagine qu’il a détruit cet objet (d’où les reproches qu’il se fait), mais il est incapable de suivre sans li ‘d’où la dépression). cette façon de voir la dépression mélancolique suppose que les personne qui en souffrent trouvent , même lorsqu’elles sont en bonne santé , dans un état d’équilibre précaire, puisque leur stabilité est fondé sur une relation ambivalente complexe envers un objet interne .**selon Abraham(1927) = la dépression se produit chez les personnes qui utilisent des défenses obsessionnelles ; d’après lui les conditions infantiles préalables qui s’avérant nécessaires à la dépression dans la vie adulte sont les suivantes : l’ambivalence à l’égard du sein et la fixation au sein, d’on l’introjection, crée<> et une blessure profonde infligée, suite

la dépression, diagnostic, traitement

La dépression, diagnostic, traitement****Généralité **fréquence : OMS. : 200millions/monde. —prévalence à l’an : 4-10%. Risque p. la vie 30% dont 20% dépression majeur. Demande psychiatrique + praticien. Déprimés= 10 à 25% de la médecine générale. le risque majeur pou la psychiatrie est le suicide. Ce sont prés de 100 millions de cas de dépression qui sont recensés dans le monde par le OMS. Les malades dépressives sont en effet parmi les pathologies mentales les plus fréquentes et leur prévalence parait en constante progression depuis la seconde guerre mondiale. Le risque de faire de moins un épisode dépressif dans la vie serait de 10%, ces 10% concernent essentiellement les troubles dépressifs majeurs et les troubles dysthymiques. Les dépressions affectent 15% des hommes et 25% des femmes chez les adolescents par exemple, selon les études, on rencontre 5 à 10% de déprimés dans la population en générale. DÉFINITION=== ** la dépression est n trouble de la personnalité dans la quel. La disposition affective est effondrée. C’est un trouble fréquent dans la population. ===* affaiblissement moral intellectuel et physique au cours d’une maladie. La dépression simple et un état presque normal au même titre que l’excitation. La plus part de l’individu se partagent en effet l’excitation et la dépression, qui sentent différemment, et le même individu connaît souvent des périodes alternatives d’excitation et de dépression. A un degré plus marqué, ces états deviennent normaux. La dépression se traduit alors par un ton émotionnel triste, des troubles anesthésiques pénibles, un sentiment de fatigue, de malaise, des hésitations allant jusqu'à la porte de la volonté. Un tel tableau de réaction douloureuse passive se trouve réalisé dans sa forme les plis nets par la mélancolie à la forme dépressive. **** dans d’autre forme == la dépression est un syndrome psychiatrique recouvrant des réalités cliniques fort diverses, en relations avec des états névrotiques, des troubles psychosomatiques, éventuellement la schizophrénie, etc.….** son unité est figurée par une symptomatologie dont les signes principaux sont la perte de l’énergie, les états d’inhibition, le sentiment d’appauvrissement affectif(désintérêt), intellectuel(perte de mémoire, diminution des facultés d’attention et de compréhension, etc.….) . la notion de dépression intervient de la terminologie psychanalytique pour désigner soit une position, soit une situation réactionnelle liée à la perte de l’objet ou un trouble de la relation au monde et à soi-même, qui est due à une perte de l’énergie consciente : la perte d’âme de primitifs. Jung l’a fort peu étudiée dans son œuvre psychiatrique. Le déprimés dans sa psychologie, il situe son origine soit dans la mauvaise utilisation de l’énergie. la disposition du conscient( état de négligences diverses) ( Jung) qui reflue alors vers l’inconscient et l’anime, soit dans la régression qui fait suite au conflit, soit dans l’activation( spontanée) de l’inconscient qui dispose d’un pouvoir d’attraction qui jusqu’à retirer leur valeur aux contenus conscient. La valeur se trouve alors dans l’inconscient, aussi faut- il donner la parole à la dépression et aux fantasmes qu’elle suscite ? Loin d’être un abandon névrotique, cette attitude est la prise en compte de l’inconscient par le jeu de fonction transcendante. Elle est caractéristique des périodes d’incubation de l’existence : de changement d’orientation, de réactivité et d’intégration des conflits. Suite