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27 octobre 2006

La psychologie des couleurs :

La psychologie des couleurs :


Pas toujours évident de choisir les bonnes couleurs pour notre chez-soi. En compagnie de Kathleen aujourd’hui, on vous présente les effets des couleurs sur notre humeur et nos émotions!

Le choix des couleurs en décoration repose le plus souvent sur nos goûts propres et notre sens esthétique. Sans oublier l'influence indéniable de ce qui est présenté dans les magazines. Pourtant, plusieurs experts soutiennent que les couleurs ont un effet sur nos émotions et notre humeur et qu’il est donc souhaitable d’en prendre conscience avant de faire un choix définitif.

Le bleu
Le bleu est avant tout une couleur relaxante. Il favorise la détente physique et mentale et procure un sentiment de sécurité et de confiance. Selon la thérapie par la couleur, on utilise le bleu pour activer la guérison, soulager la douleur et même pour abaisser la pression artérielle (chambres des hôpitaux).

Puisque le bleu pâle favorise la créativité, on le recommande pour décorer le bureau ou la salle d’étude. L’idéal serait de l’associer au jaune. qui quant à lui stimule l’esprit et augmente la concentration et le sens de l’organisation.

Le bleu foncé est parfait dans la chambre à coucher car il favorise un sommeil profond et paisible, alors attention de ne pas l’utiliser dans votre bureau, vous risqueriez de vous endormir au travail!

En somme, le bleu pâle stimule votre côté créatif et le bleu foncé apaise et endort!

Le jaune
Que diriez-vous d’une cuisine où votre sens de l’organisation serait renforcé ? D’un coin de travail où les devoirs se feraient plus efficacement ou d’une salle familiale où règnerait la bonne humeur ?

Le jaune est lumineux, joyeux et stimulant. Il stimule la concentration, la mémoire, le jugement et la prise de décision. C’est aussi une couleur qui favorise l’assimilation de nouvelles idées et la capacité à comprendre différents points de vue. De plus, le jaune aiderait même les gens à être mieux organisés et à adopter une attitude optimiste. Les bienfaits du jaune sont donc sujets à être appréciés dans plusieurs pièces de la maison.

De façon résumée, le jaune s’avère un excellent choix pour décorer une pièce vouée au travail intellectuel, à l’étude ou au travail de rédaction. Il est important par contre de l’utiliser accompagné d’une couleur qui apporte un peu de sécurité et de calme, comme le bleu, car le jaune, employé seul et en trop grande quantité, risquerait de s’avérer trop stimulant pour le système nerveux!

Le vert
Le vert est un symbole de vie, de croissance et d’harmonie. C’est une couleur qui réconforte et détend. Lorsque l’on pense au vert, on imagine des forêts, des arbres, de l’herbe. La nature nous offre une multitude de teintes de vert : olive, pomme, jade, émeraude ou vert lime! Il apporte un sentiment de paix et de quiétude.

Selon certaines études, le vert pâle favorise une respiration lente et profonde. Alors pourquoi ne pas adopter le vert menthe et l’aqua pour une salle de bain, un coin lecture ou encore une pièce destinée au yoga ? À l’opposé, le vert pomme et le vert lime possèdent un côté plus stimulant. Ils créent une ambiance de fête alors, allons-y pour la salle de jeux. Les teintes plus sombres comme le vert bouteille et l’olive confèrent une touche de calme et de sérénité.

Grâce à toutes ses qualités, le vert, selon les nuances, convient à presque toutes les pièces. Il créera même un effet de grandeur à une petite pièce qui manquerait de fenestration. Alors ajoutez du feuillage à votre décor!

L'orangé
L’orangé est la couleur joyeuse par excellence. Il libère les émotions, favorise l’estime de soi et la capacité de pardonner. Cette couleur stimulante et ensoleillée combat la dépression et ravive la bonne humeur. Les teintes plus pâles, comme le pêche ou le corail, aident à rétablir l’énergie nerveuse.

Personnellement, je ne suggère pas l’orangé pour la totalité d’une pièce mais, par petites touches ici et là. Un ou deux murs tout au plus ou encore au niveau des accessoires. Pour ceux pour qui l’orangé paraît trop fort, certaines teintes comme le terra-cotta ou l’ambre conviendront mieux, tout en conservant les qualités propres à l’orangé.

Le violet
On attribue au violet des propriétés antiseptiques. Dans certaines salles d’opération, on utilise des ultraviolets pour purifier l’air. En psychiatrie, le violet est souvent employé dans le traitement des malades souffrant de peurs et d’obsessions à cause de ses effets calmants et apaisants. Il contribuerait à l’équilibre de l’esprit.

De plus, il est lié au sens artistique et musical. De la sorte, il favoriserait la créativité, la sensibilité et la compassion. En déco, on emploie parfois le violet pour créer des atmosphères mystérieuses et sophistiquées, qui reflètent la personnalité créatrice des habitants de la maison.

À moins de vouloir créer chez vous une ambiance dramatique et théâtrale, le violet est à utiliser à petite dose. Optez pour le pourpre, le bleu violacé ou encore le lilas et pensez de l’agencer avec des teintes de gris. Le résultat sera tout simplement grandiose!

Le rouge
On dit du rouge qu'il stimule le cœur et améliore la circulation sanguine! Associé à des niveaux d’énergie et de stimulation très élevés, le rouge est qualifié d’antidépresseur. Il évoque chaleur et sensualité. Ses effets stimulants le prédestinent pour les pièces dans lesquelles le mouvement et l’activité sont omniprésents, telles que le hall d’entrée, les escaliers, la salle d’exercice et la cuisine. D’autre part, certains rouges, utilisés à l’excès, peuvent irriter, voire même provoquer la colère! Le rouge est une couleur primordiale pour nos ancêtres car il était synonyme de vie. Le rouge symbolise la joie, la santé et le triomphe, sans compter qu'il est aussi la première des couleurs, à l’origine du nom Adam.

Optez pour des rouges plus sobres tels que le rouge argile, framboise ou encore un rouge cendré। Si vous privilégiez un rouge vif, utilisez-le en accessoire. Souvenez-vous qu’il n’est pas nécessaire de peindre les quatre murs d’une pièce pour profiter des effets bénéfiques de cette couleur. Le rouge est une couleur d'une très forte personnalité, ne vous laissez pas intimider. Osez un mur ou deux!



17 avril 2006

la dépression, diagnostic, traitement 2

De l’autre coté, la dépression soit une émotion soit un diagnostic. Dans le premier cas, le sujet est abattu, sombre, lorsqu’il s’agit de diagnostic, cela connote un syndrome dont le facteur psychoaffectif (émotion), la dépression constitue un des éléments. La psychiatrie actuel utilise le diagnostic<> pour d écrire ce qu’on avait l’habitude d’appeler la mélancolie, condition dans laquelle le patient souffre d’idées noires, de ralentissement des pensées et de l’action, ainsi que l’auto reproches délirants. C’est un des troubles affectifs, est ainsi appelé en raison de la perturbation de l’humeur, l’autre de la manie. On dit des personnes chez lesquelles alternent la dépression et la manie qu’elles ont une psychose maniaco-dépressive. La psychiatrie fait la distinction entre la dépression endogène et la dépression exogène, la première étant présumée être le résultat de quelque trouble constitutionnel (non spécifié) la seconde étant une réaction compréhensible mais pour le moins excessive à quelque événement pénible. La dépression évolutionnelle est un état dépressif qui se produit au cours de la seconde moitié de la vie. L’emploi de cette expression implique que l’on croit à une origine constitutionnelle. La littérature psychanalytique est unanime à considérer la dépression mélancolique comme une farte pathologie de deuil, l’objet perdu étant un objet interne et non pas actuellement une personne. Cet objet interne était investi de façon ambivalente, de sorte que l’individu déprimé se sentait dépendant d’un objet envers la quel il n’était pas moins hostile. Dans la dépression, il s’imagine qu’il a détruit cet objet (d’où les reproches qu’il se fait), mais il est incapable de suivre sans li ‘d’où la dépression). cette façon de voir la dépression mélancolique suppose que les personne qui en souffrent trouvent , même lorsqu’elles sont en bonne santé , dans un état d’équilibre précaire, puisque leur stabilité est fondé sur une relation ambivalente complexe envers un objet interne .**selon Abraham(1927) = la dépression se produit chez les personnes qui utilisent des défenses obsessionnelles ; d’après lui les conditions infantiles préalables qui s’avérant nécessaires à la dépression dans la vie adulte sont les suivantes : l’ambivalence à l’égard du sein et la fixation au sein, d’on l’introjection, crée<> et une blessure profonde infligée, suite

la dépression, diagnostic, traitement

La dépression, diagnostic, traitement****Généralité **fréquence : OMS. : 200millions/monde. —prévalence à l’an : 4-10%. Risque p. la vie 30% dont 20% dépression majeur. Demande psychiatrique + praticien. Déprimés= 10 à 25% de la médecine générale. le risque majeur pou la psychiatrie est le suicide. Ce sont prés de 100 millions de cas de dépression qui sont recensés dans le monde par le OMS. Les malades dépressives sont en effet parmi les pathologies mentales les plus fréquentes et leur prévalence parait en constante progression depuis la seconde guerre mondiale. Le risque de faire de moins un épisode dépressif dans la vie serait de 10%, ces 10% concernent essentiellement les troubles dépressifs majeurs et les troubles dysthymiques. Les dépressions affectent 15% des hommes et 25% des femmes chez les adolescents par exemple, selon les études, on rencontre 5 à 10% de déprimés dans la population en générale. DÉFINITION=== ** la dépression est n trouble de la personnalité dans la quel. La disposition affective est effondrée. C’est un trouble fréquent dans la population. ===* affaiblissement moral intellectuel et physique au cours d’une maladie. La dépression simple et un état presque normal au même titre que l’excitation. La plus part de l’individu se partagent en effet l’excitation et la dépression, qui sentent différemment, et le même individu connaît souvent des périodes alternatives d’excitation et de dépression. A un degré plus marqué, ces états deviennent normaux. La dépression se traduit alors par un ton émotionnel triste, des troubles anesthésiques pénibles, un sentiment de fatigue, de malaise, des hésitations allant jusqu'à la porte de la volonté. Un tel tableau de réaction douloureuse passive se trouve réalisé dans sa forme les plis nets par la mélancolie à la forme dépressive. **** dans d’autre forme == la dépression est un syndrome psychiatrique recouvrant des réalités cliniques fort diverses, en relations avec des états névrotiques, des troubles psychosomatiques, éventuellement la schizophrénie, etc.….** son unité est figurée par une symptomatologie dont les signes principaux sont la perte de l’énergie, les états d’inhibition, le sentiment d’appauvrissement affectif(désintérêt), intellectuel(perte de mémoire, diminution des facultés d’attention et de compréhension, etc.….) . la notion de dépression intervient de la terminologie psychanalytique pour désigner soit une position, soit une situation réactionnelle liée à la perte de l’objet ou un trouble de la relation au monde et à soi-même, qui est due à une perte de l’énergie consciente : la perte d’âme de primitifs. Jung l’a fort peu étudiée dans son œuvre psychiatrique. Le déprimés dans sa psychologie, il situe son origine soit dans la mauvaise utilisation de l’énergie. la disposition du conscient( état de négligences diverses) ( Jung) qui reflue alors vers l’inconscient et l’anime, soit dans la régression qui fait suite au conflit, soit dans l’activation( spontanée) de l’inconscient qui dispose d’un pouvoir d’attraction qui jusqu’à retirer leur valeur aux contenus conscient. La valeur se trouve alors dans l’inconscient, aussi faut- il donner la parole à la dépression et aux fantasmes qu’elle suscite ? Loin d’être un abandon névrotique, cette attitude est la prise en compte de l’inconscient par le jeu de fonction transcendante. Elle est caractéristique des périodes d’incubation de l’existence : de changement d’orientation, de réactivité et d’intégration des conflits. Suite