17 avril 2006
la dépression, diagnostic, traitement
La dépression, diagnostic, traitement****Généralité **fréquence : OMS. : 200millions/monde. —prévalence à l’an : 4-10%. Risque p. la vie 30% dont 20% dépression majeur. Demande psychiatrique + praticien. Déprimés= 10 à 25% de la médecine générale. le risque majeur pou la psychiatrie est le suicide. Ce sont prés de 100 millions de cas de dépression qui sont recensés dans le monde par le OMS. Les malades dépressives sont en effet parmi les pathologies mentales les plus fréquentes et leur prévalence parait en constante progression depuis la seconde guerre mondiale. Le risque de faire de moins un épisode dépressif dans la vie serait de 10%, ces 10% concernent essentiellement les troubles dépressifs majeurs et les troubles dysthymiques. Les dépressions affectent 15% des hommes et 25% des femmes chez les adolescents par exemple, selon les études, on rencontre 5 à 10% de déprimés dans la population en générale. DÉFINITION=== ** la dépression est n trouble de la personnalité dans la quel. La disposition affective est effondrée. C’est un trouble fréquent dans la population. ===* affaiblissement moral intellectuel et physique au cours d’une maladie. La dépression simple et un état presque normal au même titre que l’excitation. La plus part de l’individu se partagent en effet l’excitation et la dépression, qui sentent différemment, et le même individu connaît souvent des périodes alternatives d’excitation et de dépression. A un degré plus marqué, ces états deviennent normaux. La dépression se traduit alors par un ton émotionnel triste, des troubles anesthésiques pénibles, un sentiment de fatigue, de malaise, des hésitations allant jusqu'à la porte de la volonté. Un tel tableau de réaction douloureuse passive se trouve réalisé dans sa forme les plis nets par la mélancolie à la forme dépressive. **** dans d’autre forme == la dépression est un syndrome psychiatrique recouvrant des réalités cliniques fort diverses, en relations avec des états névrotiques, des troubles psychosomatiques, éventuellement la schizophrénie, etc.….** son unité est figurée par une symptomatologie dont les signes principaux sont la perte de l’énergie, les états d’inhibition, le sentiment d’appauvrissement affectif(désintérêt), intellectuel(perte de mémoire, diminution des facultés d’attention et de compréhension, etc.….) . la notion de dépression intervient de la terminologie psychanalytique pour désigner soit une position, soit une situation réactionnelle liée à la perte de l’objet ou un trouble de la relation au monde et à soi-même, qui est due à une perte de l’énergie consciente : la perte d’âme de primitifs. Jung l’a fort peu étudiée dans son œuvre psychiatrique. Le déprimés dans sa psychologie, il situe son origine soit dans la mauvaise utilisation de l’énergie. la disposition du conscient( état de négligences diverses) ( Jung) qui reflue alors vers l’inconscient et l’anime, soit dans la régression qui fait suite au conflit, soit dans l’activation( spontanée) de l’inconscient qui dispose d’un pouvoir d’attraction qui jusqu’à retirer leur valeur aux contenus conscient. La valeur se trouve alors dans l’inconscient, aussi faut- il donner la parole à la dépression et aux fantasmes qu’elle suscite ? Loin d’être un abandon névrotique, cette attitude est la prise en compte de l’inconscient par le jeu de fonction transcendante. Elle est caractéristique des périodes d’incubation de l’existence : de changement d’orientation, de réactivité et d’intégration des conflits. Suite
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire